
Acquérir la sémantique correspondante : cela implique le bon nommage, les bons paramètres, la structure des données ainsi passées, l’usage des headers HTTP et la mise en place de conventions cohérentes à faire appliquer à toute l’équipe qui l’entoure.

Fédére une communauté de professionnels : vous assure la sécurité du service que vous voulez mettre en place.

Documenter les champs, pages de valeur et les contraintes, à l’aide de l’outil Swagger, une spécification pour décrire l’API RESTful via Json ou YAML, qui sont les langages de description. Vous définissez les structures de données retournées par les endpoints.

Valider les données entrantes lors du runtime, en vous appuyant sur certaines bibliothèques ; retourner les informations sur les erreurs générées, ce qui permet d’économiser du temps et de s’assurer que le code fonctionne à l’entrée.

Tester l’API, dès le début du processus de développement, grâce à l’outil clé, Postman, une extension au navigateur Chrome. Il va définir des collections d’Endpoint, avec les URL, des paramètres, les headers et les données qui doivent être exécutés.